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5ème chantier d’optimisation pour Energy Observer en Martinique

Notre navire est sorti de l’eau le 4 janvier pour un chantier d’optimisation de trois semaines au Marin, en Martinique. Une pause de courte durée après une année 2020 marquée par les plus longues navigations depuis le départ de Saint-Malo en 2017.

Photo d'Energy Observer sorti de l'eau

Plus de 10 000 milles nautiques grâce aux énergies renouvelables et à l’hydrogène

Dans un contexte mondial incertain dû à la pandémie de Covid-19, le programme 2020 de notre odyssée avait été intégralement revu, les escales iconiques notamment à Tokyo durant les Jeux Olympiques d’été ou sur la côte californienne reportées à 2021.

Des évènements qui n’ont pas empêché notre navire expérimental et son équipage de poursuivre ses missions de tournages et de recherche tout en s’adaptant quotidiennement aux directives sanitaires.

En 2020, notre navire a effectué les plus longues navigations de son histoire avec sa première transatlantique et l’exploration des territoires d’Outre-mer jusqu’en Guyane, comptabilisant plus de 10 000 milles nautiques. Et l’année 2021 verra des traversées encore plus ambitieuses !

Une performance réalisée grâce à l’autonomie énergétique totale de nos systèmes embarqués, un modèle de résilience particulièrement adapté à la situation actuelle et rassurant pour la suite de l’Odyssée.

Vue drone d'Energy Observer sur l'océan

Un chantier pour préparer une année de grands parcours

Ce chantier d’optimisation vise à préparer les systèmes et le navire à des traversées encore plus longues, dont celle du Pacifique.

À commencer par la simplification et l’optimisation de la chaîne hydrogène grâce aux performances du REX H2, développé par EODev avec Toyota, qui a fait ses preuves durant plus de 10 000 milles nautiques de navigation en 2020.

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🇫🇷 NAVIGUER l Le #bateau au repos ⛵

Actuellement en Martinique, notre équipe de techniciens, ingénieurs et #marins démarre le nouveau #chantier d'hiver du navire.

#sail #cleantech #boat #Martinique #engineering

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Les hélices à pas variables, installées en 2019, feront également l’objet d’études approfondies de performance et de corrosion, tandis qu’une opération de maintenance sera effectuée sur certains panneaux photovoltaïques. Les conditions tropicales subies depuis le printemps dernier ont en effet permis de travailler sur les encapsulages innovants des panneaux solaires souples, mis à rude épreuve par des températures et un rayonnement important.

Enfin, un nouvel ingénieur systèmes s’apprête à rejoindre l’équipe et sera présent durant toute la durée de ce chantier d’optimisation.

  • Deux membres d'équipage retirent les hélices à pas variables du bateau
  • Manoeuvres pour sortir Energy Observer de l'eau
  • Chantier d'optimisation d'Energy Observer au Marin
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Ce chantier est aussi une des dernières opportunités pour optimiser cette plateforme d’exploration, dont la construction remonte à 1983 ne l’oublions pas, avant ses longues navigations dans le Pacifique et en Asie.

Rendez-vous à partir du 27 janvier pour la mise à l’eau et l’annonce des temps forts du chapitre 2021 de notre Odyssée.

Vue drone du chantier d'optimisation