Fort de France, Martinique
Retour en Martinique pour Energy Observer ! Le territoire est bien connu de notre catamaran qui y avait fait escale en 2020 à l'arrivée de sa première transatlantique. Cette fois-ci, il s'agit de la première étape officielle de l'année 2024, et 85e de son Odyssée.
En provenance de: Kourou, Guyane
Conditions météo: Ensoleillé
Heure d'arrivée: 00:00
À l'approche de la Martinique
Le Marin puis Fort de France ont été successivement les ports d'accueil pour notre navire laboratoire, qui a pris quelques jours de repos avant de plonger dans le grand tourbillon de l'année 2024, dernier cru de son tour du monde.
Le début du mois de janvier a commencé en fanfare, au sens propre comme au sens figuré puisque des musiciens sont venus à la rencontre du navire lors des quelques jours d'escale évènementielle, sur le quai Malecon à Fort de France.
🥁 Un démarrage en fanfare pour @energyobserver !
👥 @victorienerussard était à bord pour marquer le premier temps fort de l’année #2024, et accueillir à bord partenaires, institutionnels, journalistes et étudiants venus en nombre !
#energyobserver #exploringpositiveenergies
📷 : @victorienerussard & @david______perinati
“Pour cette transition énergétique, il faut un petit peu rêver, il faut donner de l'espoir. Ce bateau représente un cercle vertueux de l'énergie, un mix énergétique du futur. Ce qu'on fait à travers ce bateau, c'est ce qui est en train de se développer à travers le monde.”
CMA CGM, le groupe BPCE et la Caisse d'Epargne CEPAC, Toyota Motor Europe, Toyota France et Air Liquide ont ainsi répondu présents, aux côtés du préfet de la Martinique, de la direction des affaires maritimes et des représentants du grand port de commerce de Fort-de-France.
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Dans le sillon de 2020
C'est avec un équipage de 5 personnes que notre navire avait navigué depuis Kourou jusqu'au Marin, suivant ainsi pour la première fois les traces d'une précédente navigation, à la même période de l'année mais trois ans plus tôt.
Une navigation sans encombres dans la zone des alizés, qui cette année étaient plus faibles que ce qu'attendait notre capitaine. De belles journées ensoleillées ont permis de faire la part à la production photovoltaïque, même si la vitesse moyenne était au final plus modeste que lors de cette même navigation 3 ans plus tôt.
Le fait de revenir aux Antilles nous rapproche de territoires déjà connus... comme un avant-goût de Saint-Malo qui se rapproche.